Histoires Extraordinaires (Livre et Audio)

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Автор:

Название: Histoires Extraordinaires

Издательство: Litterature audio.com

Год выпуска: 2008-2010

Формат: DOC, MP3

Bitrate audio: 128 kbps

Размер: 465.9 MB

Язык: Français

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Histoires extraordinaires est un recueil de nouvelles écrites par Edgar Allan Poe puis traduites et réunies par Charles Baudelaire en 1856.

• Double assassinat dans la rue Morgue (1841)

• La Lettre volée (1845)

• Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfaall (1839)

• Manuscrit trouvé dans une bouteille (1833)

• Une Descente dans le Maelstrom (1841)

• La Vérité sur le cas de M. Valdemar (1845)

• Révélation magnétique (1844)

• Les Souvenirs de M. Auguste Bedloe (1844)

• Morella (1835)

• Ligeia (1838)

• Metzengerstein (1832)

 

« Je demeurais à Paris, – pendant le printemps et une partie de l’été de 18.., – et j’y fis la connaissance d’un certain C. Auguste Dupin. Ce jeune gentleman appartenait à une excellente famille, une famille illustre même ; mais, par une série d’événements malencontreux, il se trouva réduit à une telle pauvreté, que l’énergie de son caractère y succomba, et qu’il cessa de se pousser dans le monde et de s’occuper du rétablissement de sa fortune. [...] »

 

« J’étais à Paris en 18… Après une sombre et orageuse soirée d’automne, je jouissais de la double volupté de la méditation et d’une pipe d’écume de mer, en compagnie de mon ami Dupin [...] »

 

Un jour, vers midi, sur la place de la Bourse de la confortable ville de Rotterdam, la foule assiste à la descente d’un bien étrange ballon, portant à son bord un drôle de petit bonhomme.

Avant de disparaître à nouveau, il laisse une lettre, qui dévoile l’incroyable périple de Hans Pfaall, raccommodeur de soufflets de son métier, et astronaute à ses heures…

 

« De mon pays et de ma famille, je n’ai pas grand-chose à dire. De mauvais procédés et l’accumulation des années m’ont rendu étranger à l’un et à l’autre. Mon patrimoine me fit bénéficier d’une éducation peu commune, et un tour contemplatif d’esprit me rendit apte à classer méthodiquement tout ce matériel d’instruction diligemment amassé par une étude précoce. [...] »

 

« De mon pays et de ma famille, je n’ai pas grand-chose à dire. De mauvais procédés et l’accumulation des années m’ont rendu étranger à l’un et à l’autre. Mon patrimoine me fit bénéficier d’une éducation peu commune, et un tour contemplatif d’esprit me rendit apte à classer méthodiquement tout ce matériel d’instruction diligemment amassé par une étude précoce. [...] »

 

« Que le cas extraordinaire de M. Valdemar ait excité une discussion, il n’y a certes pas lieu de s’en étonner. C’eût été un miracle qu’il n’en fût pas ainsi, — particulièrement dans de telles circonstances. Le désir de toutes les parties intéressées à tenir l’affaire secrète, au moins pour le présent. [...] »

 

« Je sens le besoin, en dépit de tout un monde de préjugés, de raconter, sans commentaires, mais dans tous ses détails, un très-remarquable dialogue qui eut lieu entre un somnambule et moi.

Le somnambule s’exprime ainsi:

- Je ne saurais expliquer ma pensée que par une hypothèse, à savoir que l’exaltation magnétique me rend apte à concevoir un système de raisonnement qui dans mon existence anormale me convainc, mais qui, par une complète analogie avec le phénomène magnétique, ne s’étend pas, excepté par son effet, jusqu’à mon existence normale. [...] »

 

« Vers la fin de l’année 1827, pendant que je demeurais près de Charlottesville, dans la Virginie, je fis par hasard la connaissance de M. Auguste Bedloe. Ce jeune gentleman était remarquable à tous égards et excitait en moi une curiosité et un intérêt profonds. Je jugeai impossible de me rendre compte de son être tant physique que moral. Je ne pus obtenir sur sa famille aucun renseignement positif. D’où venait-il? Je ne le sus jamais bien. »

 

« [...] le temps était maintenant arrivé où le mystère de la nature de ma femme m’oppressait comme un charme. Je ne pouvais plus supporter l’attouchement de ses doigts pâles, ni le timbre profond de sa parole musicale, ni l’éclat de ses yeux mélancoliques. Et elle savait tout cela, mais ne m’en faisait aucun reproche ; elle semblait avoir conscience de ma faiblesse ou de ma folie, et, tout en souriant, elle appelait cela la Destinée. Elle semblait aussi avoir conscience de la cause, à moi inconnue, de l’altération graduelle de mon amitié. »

 

Sur les bords du Rhin, le narrateur rencontre et épouse Ligeia, une jeune noble d’une grande beauté et aux connaissances immenses. Grande et mince, elle a de longs cheveux noirs ondulés, des yeux noirs fendus, mais il émane d’elle une mystérieuse étrangeté.

 

« À l’époque dont je parle existait dans le centre de la Hongrie une croyance secrète, mais bien établie, aux doctrines de la métempsycose. De ces doctrines elles-mêmes, de leur fausseté ou de leur probabilité, – je ne dirai rien. J’affirme, toutefois, qu’une bonne partie de notre crédulité vient, comme dit La Bruyère, qui attribue tout notre malheur à cette cause unique — de ne pouvoir être seuls. »

 

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